Piment habanero (mexique), pot de 10g

Piment habanero (mexique), pot de 10g

6,00

Présentation 

The Popote vous aide à prendre soin de la planète : pot en verre recyclable à fermeture mécanique de 10g de produit net

Poids 0,160 kg
Dimensions 8 × 5 × 5 cm
Sur l’échelle de Scoville simplifiée, une échelle de mesure de force d’un piment créée par un américain en 1912, le piment Habanero tient le haut du pavé.
Ce n’est pas un piment ordinaire car à si on ne prend pas garde à son dosage, son piquant devient vite désagréable.
Il a beau être sec dans le petit en verre que vous avez en mains, sa saveur reste intacte lorsqu’il est réhydraté. Dès l’ouverture du pot, vous saurez avoir affaire à un piment costaud.
Avec prudence et patiemment, vous l’incorporez dans un jus, un bouillon, une sauce.
Au préalable, affinez sa texture dans un pilon. Saisissez  la poudre obtenue à l’aide d’une cuillère. Ne portez pas vos mains vers vos yeux et votre bouche. les poussières du piment sont très irritantes
Les recettes antillaises,  réunionnaise et même orientales contiennent du piment. À vous de choisir la force du piquant en gardant à l’esprit que le Habanero est plus qu’un piment .
De son vrai nom Javanero de l’île de Java et sa cuisine hautement relevée, ce piment de petite taille fut nommé Habanero à cause de la prononciation espagnole due à son origine mexicaine. Aux Antilles, c’est le piment antillais et le piment cabri à la Réunion. L’extrême férocité de son piquant surprend tout de même les costauds de cuisine hautement relevée !
Sur l’échelle de Scoville, ce pharmacien du Massachusetts inventeur  de de la classification des piments par dissolution d’eau sucrée, le piment est noté 100 00 à 577 00 selon la variété. Et ce n’est pas tout ! Utilisé frais, une goutte de son jus suffit pour bruler atrocement la langue et les lèvres. Il est fortement conseillé de mettre des gants et protéger ses yeux pour le préparer. Sa propension à être irritant se vérifie en inhalant son odeur qui produit sur les poumons l’effet d’une bombe lacrymogène.
D’ailleurs, aux Antilles et aux Comores , on se contente de frotter les aliments avec sans toutefois ke consommer directement. Sans lui et son parfum typique, la cuisine antillaise ne serait ce qu’elle est. Elles sont tellement attachées à ce fruit qu’elles le nomment affectueusement bondamanjack, les fesses de Mme Jacques  : Bonda pour les fesses, Man pour Madame, Jack pour Jacques. Une variété de piment de couleur marron foncé est appelé « sept-court-bouillon », une préparation de poisson à la tomate que le piment assaisonne tous les 7.
L’île de la Réunion avec son célèbre « rougail », un condiment de fruits et légumes, a besoin de ce piment réduit en purée
À Madagascar, on le nomme « tsilandimilahy » qui veut dire à peu près « cinq hommes ne peuvent le finir ». C’est dire si ce piment brûle !
En France et à part quelques rares amateurs de cuisine ultra piquantes, son intérêt se limite à une culture ornementale